Cette expression viendrait d'un barbier qui aurait accroché à l'entrée de son échoppe l’écriteau : "demain on rase gratis". Mais notre artisan, près de ses sous, l'y laissait tous les jours.
Par conséquent, le naïf qui, le lendemain du jour où il avait vu la pancarte, venait se faire raser ou couper les cheveux et qui s'étonnait de devoir quand même payer, s'entendait répondre : "oui, mais il y a écrit que c'est demain que c'est gratuit".