Ce n'est pas toujours évident de déchiffrer les informations fournies sur les produits du quotidien.Â
Voici donc quelques renseignements complémentaires
Créée en 1935, cette mention identifie des produits de terroir, fabriqués dans la tradition, sur leur lieu d’origine par des hommes doués d’un savoir-faire reconnu. Diverses marques bénéficient de ce label.
Il est une preuve de qualité mais pas de saveur. On sait par exemple qu’un jambon qui profite de ce certificat n’est pas polyphosphaté, qu’une viande (de l’élevage à la commercialisation) a été identifiée, mais c’est tout.
Ce logo garantit un mode de production respectueux de l’environnement, sans produits chimiques et faisant du bien-être des animaux une priorité.
Ce label garantit la qualité supérieure d’un produit. Cette qualité « gustative » est le résultat d’exigences sévères et contrôlées. Plus de 400 produits  possèdent ce logo parmi lesquels des volailles, charcuteries, viandes, fruits, légumes et produits laitiers. Décrocher un tel label n’est pas une mince affaire car il faut respecter des règles strictes.
Fruits et légumes, catégorie extra, I ou II ? Lisez les étiquettes…
Lorsque vous achetez des fruits ou des légumes, soyez vigilant sur le libellé des étiquettes. Elles doivent en théorie préciser la catégorie. Ce classement est purement esthétique puisqu’il ne prend en compte que l’aspect du produit.
Il est toutefois important de souligner que si vous achetez des fruits de catégorie II, cela ne préjuge pas de leur goût ou de leur qualité nutritionnelle.
Toutefois, la mention « extra, I ou II » a une incidence sur le prix. La catégorie II est souvent moins chère que les deux autres.
Quels sont les produits concernés par cet affichage obligatoire ? Les agrumes (à l’exception du citron vert, du kumquat et du pomélos), les fraises, le kiwi, la pomme, la poire, le raisin de table, les pêches et nectarines, le poivron, la salade et la tomate.
Observez bien les légumes avant de les acheter :
1 – les artichauts : il doit être lourd et ses feuilles bien serrées et vertes. Avant de le cuire, ne coupez pas la queue, cassez-là à la main, vous enlèverez ainsi tous les fils et votre artichaut ne sera pas filandreux au moment de la dégustation.
2 – Les carottes : elles doivent avoir une jolie couleur orangée uniforme, sans tâches et surtout très dures. Oubliez celles qui sont fendues et molles. Si elles sont vendues en botte, regardez leurs fanes. Si elles sont vertes et non flétries, allez-y banco. Côté variété, testez les carottes des sables d’origine landaise, elles sont vraiment délicieuses.
3 – Les poireaux : la partie blanche (appelée « fût ») doit être bien droite et d’une couleur uniforme sans tâches. Quant aux feuilles vertes, rejetez en bloc celles qui sont jaunissantes et flétries.
4 – Les tomates : optez pour les tomates dont la peau est lisse et brillante. Lorsque vous les prenez en main, elles doivent être fermes. Et surtout, ne vous fiez pas à leur odeur. En effet, les tomates de Sicile vendues en grappe, par exemple, très odorantes et pourtant bien souvent leur goût n’est pas du tout à la hauteur de leur parfum. Pensez aux tomates jaunes, vertes ou noires qu’on trouve sur certains marchés : elles apportent une touche colorée à vos salades estivales.
Comment bien choisir ses pommes de terre :
Lors de l’achat, demandez à votre maraîcher de choisir des pommes de terre de même calibre. Cela permettra d’obtenir une cuisson homogène.
Pour les pommes de terre à l’eau, choisissez des rosevals, charlotte ou rattes du Touquet.
Pour une purée, optez pour des amandines ou bintje.
Source : Femme actuelle