La croissance de notre chevelure est naturellement dynamisée par le rayonnement du soleil, qui se fait plus intense, alliée à des journées plus longues. La chaleur ressentie par le corps accélère la circulation sanguine qui...
Le saviez-vous ?
Casser sa pipe(DÉCÉDER) Deux explications possibles à l'origine de cette expression : - Sur les champs de batailles des guerres napoléoniennes, les chirurgiens n'ayant pas d'anesthésiant pour opérer, plaçaient une pipe en terre cuite entre les dents du patient pour qu'il la morde au lieu de crier...  Â
Le saviez-vous ?
Être sur des charbons ardents(ÊTRE IMPATIENT ET ANXIEUX)
Le saviez-vous ?
Être sur la sellette(ÊTRE EXPOSE AU JUGEMENT D'AUTRUI)La sellette était le petit banc de bois sur lequel s'asseyait l'accusé interrogé par ses juges...
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Baragouiner(LORSQU’ON A DU MAL À TROUVER SES MOTS)Expression qui tire son origine de la langue bretonne et plus particulièrement de deux mots : "bara" qui désigne pain et "gwin" qui signifie vin.
Le saviez-vous ?
Être charrette(AVOIR BEAUCOUP DE TRAVAIL URGENT)Expression française du XIXème siècle et qui aurait des origines bien parisiennes puisqu’elle serait issue de la célèbre Ecole nationale supérieure d’architecture Paris-Malaquais. Elle serait sortie droit du jargon des architectes. En effet, les étudiants en architecture qui avaient un travail urgent à faire en matière de dessins, cartons et maquettes avaient principalement recours aux charrettes des livreurs et vendeurs des rues qui étaient installés près de la gare Montparnasse, donc pas loin de l’école, pour descendre leurs grands châssis car les rendus avaient lieu à midi précise.
Le saviez-vous ?
Ronger son frein(CONTENIR SA COL ÈRE)Une expression apparue au XIVe siècle dans le domaine de l’équitation. A cette époque, les cavaliers utilisaient le mot "frein" pour faire référence au fameux mors du cheval, mais lorsque le cheval est laissé seul, il arrive qu’il s’impatiente et ronge ainsi son frein – littéralement – en attendant le retour de son cavalier.
Le saviez-vous ?
Demain, on rase gratis(faire des promesses que l'on ne tient pas)Cette expression viendrait d'un barbier qui aurait accroché à l'entrée de son échoppe l’écriteau : "demain on rase gratis". Mais notre artisan, près de ses sous, l'y laissait tous les jours. |
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Le haut du pavé(une situation sociale élevée)Au Moyen Âge, les rues et ruelles qui étaient pavées, n'étaient pas plates. Le haut du pavé était contre la façade des habitations et le creux au centre de la rue, servant d'égout à l'air libre pour évacuer les eaux de pluies et les eaux usées qu'y déversaient les habitants... Le bouchon de champagne doit être plus large que le goulot de la bouteille. Comme il est impossible de tailler un bouchon de cette taille en un seul morceau de liège, il est constitué de plusieurs couches...
Le saviez-vous ?
Durer des plombes(PRENDRE BEAUCOUP DE TEMPS)Expression apparue dans le courant du XIXe siècle, et qui vient au départ du monde de l’horlogerie. À cette époque, le plomb, métal gris et très lourd, était en effet souvent utilisé dans la conception des horloges et des pendules... Â
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Mener une vie de bâton de chaise(MENER UNE VIE AGITEÉ, DÉSORDONNÉE)Cette expression nous vient du XVIIe siècle, époque à laquelle les "chaises à porteurs" sont apparues en France...
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Pleurer comme une madeleine(ÊTRE SUBMERGÉ PAR L’ÉMOTION)Elle renvoie à l’histoire de Marie-Madeleine dans le Nouveau Testament, une prostituée repentie....
Le saviez-vous ?
Avoir un nom à coucher dehors(PORTER UN NOM ORIGINAL, PEU COURANT)À l'époque médiévale, les personnes étaient classées dans les auberges selon leur nom. Ainsi, ceux qui avaient des noms de famille nobles pouvaient avoir accès à des chambres dans l'auberge en priorité alors que d'autres, comme les roturiers ou ceux qui portaient un nom à consonance étrangère devaient coucher dehors.
Le saviez-vous ?
Poireauter(ATTENDRE LONGTEMPS QUELQU’UN)Cette expression est apparue dans le courant du XIXe siècle : en raison de sa forme allongée, ce légume doit être bien enraciné dans la terre, afin de pouvoir pousser convenablement à la verticale pendant tout l’hiver. En s’inspirant de cette image, les jardiniers de l’époque utilisaient l’expression «faire le poireau» pour parler d’une personne immobile. Elle s’est ensuite popularisée, notamment pour désigner les soldats chargés de monter la garde devant un bâtiment par exemple. |