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Expression française qui remonte au XVIIème siècle. Selon le dictionnaire de l’époque, la venelle est une petite rue étroite. Inusité de nos jours, le terme est remplacé par ruelle. Mais il y a une petite différence ... 
Il existe un sens propre et un sens figuré. Née au XVIème siècle, l’expression désigne une grande pauvreté. En effet, une personne qui devait faire "rôtir le balai" était tellement pauvre qu'elle ne pouvait s'acheter du bois et en était réduite à brûler son balai pour se chauffer. Au XVIIIème siècle, l’expression change de sens 
Cette expression est une allusion à un épisode de la mythologie grecque dont l’héroïne est Pandore. Prométhée vola le feu sacré aux dieux de l’Olympe pour le donner aux hommes. Cette décision mit Zeus (le Dieu des dieux) dans une profonde colère et choisit de se venger. Il demanda alors au dieu Héphaïstos (dieu du feu et de la métallurgie) de créer une femme façonnée d’argile et d’eau. On lui donna le nom de Pandore, qui en grec signifie "doté de tous les dons" (la beauté, l’amabilité, la grâce, l’intelligence, mais aussi la jalousie, la tromperie et la curiosité). Le jour de son mariage avec Epiméthée,  
Ce portrait d’Albert Einstein serait le résultat d’un étonnant concours de circonstances. Le 14 mars 1951, le physicien allemand fête son 72ème anniversaire dans l’État du New Jersey. Il est suivi durant toute cette journée par une cohorte de journalistes et  mitraillé de flashs provenant de nombreux appareils photos. Alors, 
Cette expression vient d’un fait historique : en 1621, lors de la guerre menée par Louis XIII contre le protestantisme, la ville de Montauban, véritable cité indépendante, fut attaquée par 400 coups de canon, censés faire plier les habitants en majorité protestants. Mais ils ne se rendirent pas. La ville parvint même à faire fuir l’armée royale. Ce récit est qualifié, par les historiens, 
Il n'existe aucune certitude quant à l'origine de cette expression qui est attestée au XVIème siècle, mais ce que l'on sait, c'est qu'au Moyen Âge, la tenue usuelle comprenait des manches qui n'étaient pas cousues de manière définitive et qu'on pouvait donc changer facilement et partiellement de tenue en changeant simplement sa paire de manches. Elles étaient fixées avec des lacets, des rubans ou des agrafes. Avec ce système, on pouvait adapter sa tenue en changeant de manches à volonté selon… 
La "maille" était, au Moyen Âge, le nom d’une monnaie de bronze, la plus petite du système divisionnaire de l'époque (somme modique, sans valeur). À cette époque, on disait "avoir maille à départir". Le verbe "partir" doit se comprendre dans son sens ancien de "faire des parts", "couper" et "départir" voulait dire "partager". Mais ne pouvant pas se partager cette monnaie, ceux qui devaient le faire finissaient toujours par... 
Un abat-son désigne un petit auvent ou l'ensemble des lames inclinées vers le bas et l'extérieur disposées dans les ouïes des clochers et des beffrois. Les lames, généralement de types persiennes et fixées directement dans les ouvertures ou dans un châssis en charpente, sont le plus souvent en bois nu ou recouvertes de métal, d’ardoises ou de plomb. Les abat-sons se développent surtout à partir... |
Cette expression française remonte à l’époque où électricité n'existait pas encore. Née au début du XIXème siècle, les valets ou les soubrettes devaient tenir une chandelle pendant les ébats amoureux de leur maître, en tournant le dos... De nos jours, 
L’expression "être Fanny" ou "embrasser Fanny", est utilisée lors d'une partie de boules, lorsque le score final est de 13 à 0. À l'origine, les perdants devaient embrasser les fesses d'une femme dévêtue prénommée Fanny, représentée sur un tableau, une poterie ou une sculpture. Une tradition récente voudrait lui trouver une origine à Lyon, où une jeune femme Fanny d’à peine 20 ans, fille d’un couple tenant une herboristerie, était serveuse dans un café. Dans les années 1870, 
Le mot lurette n'existe pas, il serait la transformation du patois "heurette" ou "hurette", diminutif d’heure, en "lurette", ou en "bellurette". Toutefois, "il y a belle lurette" existe bien depuis la fin du XIXème siècle (l’expression est apparue en 1877) et viendrait d’une expression dialectale, 
En début de conversation téléphonique, "allô" est prononcée, pour la 1ère fois, 4 ans après l'invention du téléphone en 1876, mais en réalité, il est bien antérieur au XIXe siècle. L'origine de cette expression remonte au XIème siècle, lorsque le duc de Normandie, Guillaume le Conquérant, envahit l'Angleterre. Les bergers normands, installés en Grande Bretagne, criaient "halloo" pour rassembler leurs troupeaux. L'étymologie provient du verbe anglo-normand "halloer" qui signifie... 
Attestée depuis 1672, cette expression tire son origine de l’Evangile selon Saint-Jean. En effet, à cette époque, la religion punissait de lapidation ceux et celles qui commettaient certains pêchés. Les 1ères pierres étaient jetées par les témoins du crime et les suivants continuaient à lapider le fautif jusqu’à ce que mort s’en suive. Jésus fut convié à participer à la sentence d’une femme adultère. Les invités l’obligèrent à choisir, pour l'éprouver afin d'avoir de quoi l’accuser :  
Du XIIe au XIXe siècle, le jeu très en vogue, le "trictrac", qui s’apparente au backgammon, se pratiquait à deux à l’aide de 2 dés, 15 dames  et d’un marqueur de points appelé "bredouille". Le but était de gagner 12 trous. Lorsqu'un joueur gagnait tous les trous sans même que son adversaire ait le temps de jeter ses dés, 
Au Moyen Âge, les associations de métier réglementaient le travail en exigeant qu'il ne soit effectué qu'à la lumière du jour, du lever au coucher du soleil. Or, certains maîtres, pour augmenter le rendement de leurs ouvriers, les faisaient travailler à la chandelle, une fois la nuit tombée, ce qui était interdit par les règles. |
